13, rue Le Corbusier - 92100 Boulogne Billancourt
06 22 60 22 28
Selon la reue JAMA Oncol. Published online July 2, 2020. doi:10.1001/jamaoncol.2020.2404
La pandémie COVID-19 a posé des défis majeurs à la pratique de l’oncologie dans de nombreux pays à revenu élevé comme les États-Unis et le Canada.
Des mesures sont actuellement prises dans ces pays pour réduire le flux de patients vers les centres de cancérologie et les hôpitaux en substituant les visites électroniques ou de télésanté aux visites en présence des personnes dans la mesure du possible, en réduisant la fréquence des visites de suivi, en réduisant l’imagerie de surveillance et d’autres tests, et en engageant des discussions quelles sont les thérapies anticancéreuses les plus importantes à administrer, en cas de situation où la capacité de fournir des traitements diminue.
Il s’agit de quelques-unes des mesures prises par les établissements de santé et par les médecins pour minimiser les visites en face à face des patients afin de contrôler la propagation du COVID-19 et de déployer de manière optimale les agents de santé dans le système de santé.
Ce sont évidemment des mesures rationnelles à prendre pendant une pandémie, d’autant plus que de nouvelles données suggèrent que les patients atteints de cancer peuvent être plus à risque de mourir d’une infection à COVID-19, bien qu’il existe certaines incertitudes quant à la fiabilité de ces informations.
https://jamanetwork.com/journals/ja…
Auteurs
Bishal Gyawali, MD, PhD1,2 ; Bishesh Sharma Poudyal, MD3 ; Elizabeth A. Eisenhauer, MD4
1Department of Oncology, Department of Public Health Sciences, Queen’s University, Kingston, Ontario, Canada
2Cancer Research Institute, Division of Cancer Care and Epidemiology, Queen’s University, Kingston, Ontario, Canada
3Department of Hematology-Oncology, Civil Service Hospital, Kathmandu, Nepal
4Queen’s University, Kingston, Ontario, Canada
JAMA Oncol. Published online July 2, 2020. doi:10.1001/jamaoncol.2020.2404